Depuis de nombreux mois, une épée de Damoclès pèse sur nos services, tout comme pour l’ensemble de la fonction publique : le rapport CAP 2022 devait donner lieu à des annonces au deuxième semestre 2018… seul le mouvement social des gilets jaunes et son ampleur ont permis d’obtenir quelques mois de sursis. C’est la preuve qu’une démonstration de force peut faire reculer le gouvernement et bloquer la régression sociale qu’on nous promet.

Il s’agit aujourd’hui de montrer par la grève et dans la rue le mécontentement que chacun ressent aujourd’hui dans nos services.

Refusons le projet de loi de réforme de la fonction publique, obtenons l’arrêt des suppressions de postes et des réorganisations en cours et à venir au ministère du travail, réclamons une prime de 1000 euros et une revalorisation du traitement à la même hauteur que celle accordée au ministère de l’intérieur ainsi que le dégel du point d’indice.
Tous et toutes en grève le 19 mars !

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